Une nouvelle ère commence et toute chose en porte les traces. Le sentimentalisme de la survie est fini, de même que le libéralisme sexuel, philosophique et caractérologique d’après-guerre : c’est le retour d’une époque virile, d’un conformisme brutal, peut-être de la guerre. En tout cas, celui du fascisme (ou quel que soit le nom qu’on lui donne).