c’est que ces sociétés consomment aujourd’hui des images, et non plus, comme celles d’autrefois, des croyances ; elles sont donc plus libérales, moins fanatiques, mais aussi plus “fausses” (moins “authentiques”) – chose que nous traduisons, dans la conscience courante, par l’aveu d’une impression d’ennui nauséeux, comme si l’image, s’universalisant, produisait un monde sans différences (indifférent), d’où ne peut alors surgir ici et là que le cri des anarchismes, marginalises et individualismes : abolissons les images, sauvons le Désir immédiat (sans médiation).