est souvent production de célébrités – générant en province ces clones, qui se constituent une gloire locale en pillant les magazines spécialisés et en recopiant plus ou moins précisément les dessins qui triomphent sur le restant de la planète. Le style cosmopolite définit la patte d’une poignée d’architectes actifs sur le globe, chacun se marquant formellement à la culotte. Peu de ruptures franchement lisibles dans ce monde uniforme qui réplique et duplique l’uniformisation planétaire des goûts et des modes de vie. Un même bâtiment pour tous ? Le rêve de tous les régimes totalitaires qui n’en espéraient pas tant pour nourrir la servitude volontaire.