Tarte rose à la rhubarbe
Pour 6/8 personnes
Préparation : 40 mn
Cuisson : 1 h 20
Ingrédients : 1 kg de rhubarbe / 100 gr de sucre cassonade / 2 cm de gingembre frais / 10 cl de lait chaud / 1 jeune d’oeuf + 1 oeuf entier / 65 gr de sucre / 115 gr de beurre mou / 2 c. à soupe de farine / 75 gr de biscuits roses de Reims / 250 gr de pâte brisée
Préchauffez le four à 160° C. Etalez la pâte et foncez-en un moule à tarte beurré. Placez-le au réfrigérateur.
Lavez la rhubarbe. Découpez la moitié des tiges en petits morceaux et faites-les cuire dans une grande casserole avec le sucre cassonade et le gingembre pelé et râpé. Laissez fondre le tout pendant 10 mn, réservez.
Découpez les autres tiges de rhubarbe en deux puis en deux à nouveau dans l’épaisseur, réservez.
Dans une casserole, mélangez le lait avec le jaune d’oeuf et faites chauffer doucement pour obtenir une consistance plus crémeuse, puis ajoutez petit à petit 15 gr de sucre et 15 gr de beurre. Versez sur les morceaux de rhubarbe cuite et mélangez.
Mettez dans un bol d’un mixeur le reste du beurre en morceaux avec le reste de sucre, l’oeuf entier, 2 c. à soupe de farine et les biscuits de Reims brisés grossièrement. Donnez quelques tours de mixeur.
Couvrez le fond de la tarte avec la crème à la rhubarbe, ajoutez ensuite le mélange aux biscuits et disposez dessus les tiges de rhubarbe crues.
Faites cuire 1 h en disposant votre plat dans le bas du four.
Dégustez avec une blanquette-de-limoux.
Vivre,
c’est privilégier la jouissance et répudier le sacrifice. Vivre, c’est substituer la création au travail. La vie est un don. Elle n’a pas de prix ; nul ne doit la payer. Vivre, c’est faire primer l’émancipation individuelle sur l’esprit grégaire. Vivre, c’est prendre conscience de ses désirs afin de les affiner, de les harmoniser, de les réaliser. Vivre, c’est extirper de soi la peur et la culpabilité. Il faut propager l’enseignement du vivant, non les leçons de la mort.
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Note d’intention #3
Enfin une définition possible et satisfaisante pour ce blog : roses et poireaux relève de la dérive envisagée comme “technique du passage hâtif à travers des ambiances variées”. Il relève aussi d’une certaine forme de labyrinthe, ce qui n’est pas pour me déplaire…