que je vais passer ma vie à grimper, à désirer grimper d’ailleurs et plutôt, les sentiers des torses, c’est à peu près la seule expérience qui me donne un monde. Je ne sais pas pourquoi je suis en marche inlassable vers la clairière d’eux et ce que j’espère de là-bas où je n’arriverai pas, où j’arrive de moins en moins à mesure que ma mort se répand. Mais j’espère.