soit incapable de s’emparer de ce dont elle a la sensation n’est peut-être qu’un exemple d’une vérité plus générale : l’incapacité de l’homme à posséder quoi que ce soit. Je ne crois pas (ou du moins ne crois plus) à la formule célèbre de Pascal qui fait de l’homme un “prince dépossédé”. Prince, je ne sais. Mais certainement pas dépossédé : car il est inapte à la possession et n’a par conséquent jamais rien véritablement eu dont il puisse être privé. Ce qui, faut-il le préciser, n’arrange en rien ses affaires.