l’homme est lièvre, taureau ou cheval. De même, la femme est antilope, jument ou éléphante, suivant la profondeur de son vagin (yoni).
Il existe trois accouplements conformes à la nature et six “inégaux”, c’est-à-dire deux unions “inégales” pour chacun des trois modèles.
Pour un plaisir équilibré il est préférable que les partenaires aient des mensurations sexuelles correspondantes; dans ce cas, leur jouissance sera évidemment modérée.
Lorsque les dimensions du membre de l’homme sont supérieures à celles du vagin de sa partenaire et que le mâle s’accouple avec la femme qui vient immédiatement après son homologue ou avec celle qui la suit, on parle d’union supérieure et violente ou d’accouplement très supérieur et très violent, suivis d’une jouissance de type aigu.
A l’inverse, quand les mensurations sexuelles de la femme surpassent celle s de son partenaire masculin et suivant une hiérarchie identique à la précédente, on parle d’union inférieure d’où résulte pour l’un et l’autre un plaisir insignifiant.
En résumé, il y a neuf catégories d’accouplements selon les dimensions des sexes. Les conjugaisons des semblables sont les meilleures; celles des opposés les plus éloignés sont les pires; toutes les autres se tiennent dans la bonne moyenne, quoique, parmi ces dernières, il faille préférer les violentes aux dérisoires.